À cause du virus
“Covid-19 », c’est la fin prémature de la saison d’hiver aux montagnes.
Mais je dois continuer pratiquer ma langue Français et avec plus de temps
peut-être je peux en profiter ! Donc dans cette édition de mon blog, je
vais raconter une petite aventure, pas aux montagnes mais en vélo.. notre première
« 100 miler » pour l’année. Avant qu’on parle de confinement et
#restezchezvous.
C’est toujours Kate qui a plus de
motivation de faire un boucle long pendant le printemps mais Kate m’inspire.
Donc, on planifie notre parcours ensemble, normalement nous aimons aller à la montagnes
mais on cherche un boucle sans trop de dénivelé, pas loin de chez nous, mais
pas l’un de nos boucles habituels qu’on fait pendant l’été.
Avec un nouveau parcours bien
planifié et enregistré sur nos Garmins on part de Buis-Les-Baronnies a bonne heure
sous les premières rayons du jour. On commence de monter le Col d’Ey dessous des
grandes falaises, normalement fréquenté par des grimpeurs mais il y a personne
là aujourd’hui. C’est le premier fois nous sommes montée le côté-sud et on
atteint le col sans trop de difficulté avant de descendre jusqu’à Ste-Jalle, un
vieux village dans le cœur du Baronnies-Provençal et bien connu pour le vin
« Rieu Frais » que nous buvons avec nos clients chez nous.
Du petit village on roule
direction nord-ouest envers un territoire inconnu par nous. Notre premier
site-touristique pour de la journée était les Gorges de Trente Pas que j’ai vu
sur la carte avant le départ. On atteint les Gorges par une petite route qui monte
jusqu’au hameau d’ Eyrol, c’était un paysage très beau et nous avons
l’impression d’être loin des tous.
Malheureusement, les Gorges ne
sont pas très impressionnante, peut-être nous sommes trop privilégié d’habiter près
des Gorges de La Méouge ! Après le
Col de Sausse est le paysage est encore sauvage, personne là sauf les habitants
des petits hameaux qu’on passe…c’était tranquille. Bonne pour un moment de réflexion
qu’on cherche de temps en temps (mais peut-être pas à cause de le
confinement !)
Finalement on atteint le Col de
Vesc, pas remarquable, mais c’est le dernier grand ascension du parcours et de
là, nous tournons vers le sud. C’est toujours un bon moment sur un grand boucle
quand on atteint le point le plus loin du départ et on a la bonne sensation qu’on
est en retour ! Mais, aujourd’hui le change de nos direction est bien
marquée par un vent dans le dos et une route plate et droite, nos moyen vitesse
saute avec nos esprits.
On travers les petits vieux
villages de Taulignan, Grignan et Grillon, et des nombreux bâtiments historiques
et toujours sans touristes dans l’air frais du Mars. C’est une région aussi bien connu
pour le vin, peut-être nous ne sommes pas des connaisseurs du pinot noir ou
gris mais on connait bien les petits routes entre les beaux villages ! Pas
des temps pour gouter le sang de la région on continue jusqu’au Vaison de La
Romaine. Un village encore historique et beaucoup visitées par les touristes.
C’était aussi le site d’une tragique inondation en 1992 faisant 37 morts et 4
disparus on peut voir les conséquences traumatises dans cette vidéo.
On a parlé de cette histoire recémente et depuis
lors j’ai toujours voulu y aller. Aujourd’hui on profite du beau soleil et
savoure un Coca sur la place. Après cette petite pause on trouve la motivation
de monter les petites rues raides qui nous amène au village historique.
Pourquoi, sont les plus beaux villages sont toujours en haut ? Dans un
pays renommé pour le cyclisme ce n’est pas facile à visiter les plus beaux
sites en 2 roues !
Mais, l’effort à la fin de la
journée longue est bien récompensée et on explore les historique bâtiments et
petits boutiques (d’accord, pas moi !) sur les rues pavés qui les entoure.
De Vaison, c’est seulement 20km à
Buis… on veut atteint 100 miles, mais les kilomètres passe plus vite que les
miles! Mais il y a une piqûre dans la queue (On dit en Anglais « Sting in
the Tail » ), j’ai vu sur le carte une petite route qui passe de Faucon,
par Propiac vers Buis. Heureusement, le
paysage bien mérité l’effort de monter l’ascension supplémentaire et on
découvre une route oubliée.
On finit notre tour avec une
descente jusqu’à Buis, et l’effort de la jour est presque oublié quand on atteint
le ville. C’est une boucle magnifique, sans montagnes mais une abondance des
points culminant.
Vous pouvez trouvez notre
itinéraire ici sur Strava.
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