Friday 15 November 2019

C’est parti pour la saison de ski rando!

C’est Novembre et on vient de garer nos vélos dans le garage, mais on peut déjà faire de ski ! Après quelque flocons de neige dans les hautes montagnes on a vu les webcams et bien noter que les stations de ski sont déjà couverts. Comme l’année dernier on a décidé de commencer la saison à Orcierres-Merlette où on peut profiter de la plein-soleil et les pistes vide avant la station s’ouvre mi-décembre.


Normalement, c’est l’un des plus grandes stations dans les alpes sud-alpes, mais quand c’est fermé, on peut presque garer directement sur les pistes ! Il n’y avait que quelques ski randonneurs au station, mais toutes ont profité de la neige artificielle en bas où on peut faire chausser des skis du parking… c’est génial !


Kate a donné le rythme pour la premiere montée jusque au Sommet Drouvets (2654m) et des belles vues sur les Ecrins et Vieux Chaillol, que nous sommes montés le jour de l’an. Puis c’est la première descente de la saison, toujours intéressant et Kate toujours insiste qu’elle ne peut pas skier et j’insiste qu’elle a viens de le faire!


On a remonté jusque au Grand lac des Estaris, très populaire avec des randonneurs pendant l’été mais cette jour il y a personne! On a profité d’un belle ambiance, mais pas trop long au cause d’un vent froid avant on a retourné au station.



Un super jour de commencer la saison !



Sunday 10 November 2019

Randonnée relaxante dans l'Ubaye.

C’est la saison de vivre plus doucement ! Après nos dernièrs clients sont partis de Serre Des Ormes, on cherche quelque chose plus relaxante, parce que tout le monde a besoin de moments de loisir de se détendre !


Donc, c’est pour ça nous avons décidé de faire une randonnée dans l’Ubaye. Plus doucement que le vélo ou le VTT, plus lentement que le trail et moins effrayant que l’escalade (pour Kate !), oui une randonnée était parfait. Il y a deux ans depuis nous avons passé par le Col de Larche, ou Colle della Madellena, si vous êtes Italienne,en vélo et j’ai toujours pensé d’y aller en mode de Ski Rando ou simplement à pied. Malheureusement, malgré les vacances de Toussaints, beaucoup des refuges et autre hébergements étaient fermé à cause des mauvais temps. 

Donc on a décidé faire une randonnée de deux jours à Fouillouse, avec une nuit dans le Refuge Chambeyron qui était fermé pour l’hiver.
On a décidé passer une nuit a Jausiers, normalement notre ville de départ pour le défi en vélo quand on veut faire le Col de la Bonnette ou les autres grandes cols de l’Alpes de sud. Nous avons resté à la Chambre d’hôte « Montagne Attitude ». Les propriétaires, Slyvie et Eric sont très sympa, et les 3 chambres sont sur le thème montagnes du monde. Après un bon repos et un superbe petit-déjeuner, nous étions prêt.

Nous avons garé a Fouillouse, un petit village en haut, et de là, c’était trois heures jusque au refuge. Le paysage était magnifique et plein de couleurs d’automne.


En haut, il y a de neige mais pas beaucoup et nous avons atteint le refuge sans difficulté. Le refuge est dessous le Brec de Chambeyron, très impressionnante et peut-être un sommet pour le futur ??? 


Après déjeuner et une moment « Earthing » nous avons continué jusque au lacs de neuf couleurs. Il y a de plus en plus de neige, mais avec le sac au dos plus légèr et une pente très gentil ce n’était pas trop difficile. Mais, on avait besoin de prendre beaucoup des photos 😊


Nous avons atteint le Col de Gypière ( 2927m) et le frontière Italienne. De là, la vue sur le lac était magique, et on peut vraiment voir les « neuf couleurs ». J’avait eu l’idée de faire un boucle autour du Brec de Chambeyron. Mais il y avait trop de neige au face nord, donc, ce sera une randonnée pour un autre jour !


Au refuge nous avons récupéré avec une tasse du thé avant de regarder le couche du soleil, c’était vraiment magnifique, et comme toujours j’ai trouvé l’opportunité pour le yoga 😊

Cette nuit-là, il y avait 6 autres qui ont dormi au refuge, donc ce n’était pas trop froid pendant la nuit. Le refuge est spacieux et il y a une belle vue de la Brec de Chambeyron. L’aube, comme toujours je me suis levé tôt et profiter la belle vue dans le crépuscule. Nous avons mangé nos « Pot Noodle» pour le petit déjeuner et puis ont parti pour le Pas de Couleta jusque au-dessus du refuge. 


De là nous avons descendu au vallée et puis remonter jusque au Col du Vallonet. C’était vraiment tranquille et là vue au nord sur les bâtiments militaire et les montagnes était spéciaux. Nous avons resté là et ont mangé déjeuner avant de retourné à Fouillouse et les beaux couleurs de l’automne.




Friday 18 October 2019

Dentelles de Montmirail et La Traversée des Florets


Il y a quelque jours depuis nous avons fait la Traversée des Florets mais les mémoires sont forts ! Les Dentelles de Montmirail dans le Vaucluse sont une petite chaîne des montagnes. Les crêtes ébréché, ou « Dentelles », étaient formé par l’érosion de la roche calcaire de la période Jurassique.



Normalement, on voit les Dentelles de la route quand on fait Le Tour de Ventoux par Vélo. Ils sont toujours impressionnante sur l’horizon. Il y a deux semaine j’étais là pour faire de trail et j’ai acheté un guide de l’escalade et j’ai trouvé cette voie alpinisme, parfait pour nous.



Gigondas est bien connu pour le vin, mais le petit village touristique est cinq minutes du parking pour les dentelles, donc c’était là ou nous avons arrêté  pour un petit café sans payé le prix touristique ! Après on a garé jusque au-dessous le Col de Cayron. Nous avons atteint les falaises en pied par un sentier avec des vues panoramique.



Il y avait un groupe de quatre sur la première longueur, donc nous avons dû atteindre à la base des falaises pour quelques minutes. J’ai hâté de commencer l’escalade parce que je savais que Kate était stressé, surtout quand on a dû regarder les grimpers lutte contre le plus difficile section de la traversée! 



La traverse est composé de sept ou huit longueurs et des petits rappels nombreuse. Donc c’est la gestion de la corde qui prend le temps, surtout quand on utilise une corde de 70m, normalement 40m suffit!
 


La vue d’en haut était magnifique sur Le Mont Ventoux et les vignobles de la Vallée de la Rhône et après quelques heures nous avons atteint le fin de la traverse sans trop de difficulté et nous avons redescendu à la voiture.

C’était vraiment une belle boucle !



Thursday 29 August 2019

Pas les 7, mais les 6 majeurs… ça suffit !

Les 7 majeurs est une épopée cyclo montagnarde de 360km et avec plus de 10000m de dénivelé. Il monte 7 géants des alpes franco-italiennes,  Vars, Agnel, Izoard, Sampeyre, Fauniera, Lombarde et Bonette. Il y a deux ans depuis que j’ai essayé ce défi en 24h, mais sans succès, et j’ai fait 6 cols. Cette année c’était Kate qui voulait faire cette challenge avec sa amie Anne pendant deux jours. Malheureusement, Anne à cause de son travail ne pouvait pas trouver les temps pour le bon entrainement et après une maladie a décidé (sensiblement !) qu’elle ne pouvait pas le faire en 48h, donc c’était moi qui jouait le rôle « domestique ».

Après deux semaines très occupé chez Serre Des Ormes, notre « Cycling Retreat », nous avons gardé une semaine des vacances, sans clients mais sans repos. La veille de notre départ nous avons dormi dans notre mini-bus  sur la route au Col Agnel, pas loin de Fontgillarde.


Nous savions que le jour serait longue, donc nous nous ne sommes pas levés très tôt et esperions pour une bonne nuit de repos. Mais quand nous nous sommes traîné de nos sacs au couchage, il faisait froid, très froid -2degrés et le pare-brise était gelé ! Après le petit-déjeuner nous sommes fait le dernier préparations et c’était parti !


Ce n’était pas trop longue au notre premier défi, Col Agnel, et après un petit heure de monter nous avons atteint la chaleur du soleil qui a levé nos esprits. J’adore les montagnes dans le matin, la tranquillité, le lit du matin sur les sommets ce tout bon pour l’âme. Nous avons atteint le Col (2744m) et on a pris les photos obligatoires avant la descente en Italie et bien sur un petit café Italien, plus fort que le café Français.


Après la longue descente jusque a Sampeyre nous avons commencé de monter le Col Sampeyre, la petite route serpent dans l’ombre de la forêt. En haut c’était plus belle avec des vues des montagnes Italiennes. Puis nous avons descendu jusque en bas de la vallée où nous avons déjeuné avant le col Fauniera. La route était encore petite mais aussi très raide, normalement Kate est toujours « dans la selle », mais même Kate avait raison de se lever et grincer les pédales ! 


En haut c’était magnifique, une vue panoramique et une grande ambiance dans les nuages. Nous avons atteint le col et la statue de Marco Pantini qui regarde tous les cyclistes qui ont pris son route d’entrainement.


Dans la Vallée de la Maira nous avons décidé de chercher un restaurant de manger avant de monter Col de Lombarde. C’était un peu tôt pour les restaurants Italiennes mais l’opportunité pour un petit repos durant que nous avons attendu le repas. Italie est un bon pays de faire un tour en vélo, les repas sont moins cher, mais délicieux, et plus simple que les repas Français qui est trop riche pendant l’effort physique, et le café est toujours plus fort !



Après le bon ravitaillement c’était le Col Lombarde et une moment magique en haut où nous avons traversé le col au-dessous de la pleine lune. L’ambiance était magnifique et j’ai vu un étoile filante pendant la descente. C’était presque minuit quand nous avons atteint Isola et il n’y avait pas des hôtels mais nous avons trouvé un petit abri sur un rondpoint pour le « bike-bivvy » et nous avons dormi un peu avant de recommencer au point de jour le lendemain.


Le premier jour Kate a bien roulé sans trop difficultés, mais le deuxième jour était plus difficile et elle avait besoin d’arrêter quelque fois avant de commencer la montée de Col de La Bonette. Mon but était faire le Col avant le petit-déjeuner en Jausiers. Mais je savais aussi qu’il y a un petit refuge sur la route et j’espérais que nous pouvons pris un café là. Mais, quelle chance… la gardianne était très sympa et elle nous a offert le petit-déjeuner aussi.  Après le petit refuge Kate a trouvé sa forme encore et nous avons bien progresser au Col. 


Au Col on peut monter encore à la Cime, le plus haute route en Europe, bien sûr nous avons dû y aller ! Il y avait beaucoup des touristes en haute qui prenait les photos au ce sommet mythique. Nous avons pris l’obligatoire photo pour le défi et puis à Jausiers pour un deuxième petit-déjeuner ou déjeuner? Après on s’ est levé à 4h c’était une décision difficile, mais pas pour Kate qui avait besoin des frites.. malheureusement nous étions trop tôt et elle n’était pas content de manger un panini !



On penserait que le Col du Vars serait le plus facile, la route est bien connu et le col est le plus bas des sept. Mais le côté sud est raid et malgré le bon temps Kate a lutté au sommet, elle ne pensait que d’un glace et un coca au petit café au col. Elle a bien connu c’était le fin de son défi, elle n’avait pas la motivation pour le Col d’Izoard et était content de faire le six, déjà un défi incroyable.



Donc, après Guillestre nous avons pris la belle route le long du Guil jusque au Château-Queyras et Ville Vielle où Kate a réfléchi aux deux jours en vélo, moi, j’ai cherché le minibus en haut 😊

Les 7 majeurs n’est pas seulement un incroyable défi, c’est aussi un aventure magique en vélo. Les montagnes sont toujours beaux, les montées toujours longues et les descentes parfois plus longues ! C’est difficile de gérer le plage de température, la fatigue et bien sur la nourriture. 

Pour moi, peut-être j’aurais pu finir le défi, mais nous avons commencé ensemble, nous avons roulé ensemble donc nous finissons ensemble. Pas le 7majeurs, mais un incroyable deux jours en (et hors) de selle.



Notre route est en Strava ici, est plus informations sur les7majeurs ici.

Pour un petit repos après votre défi restez à Serre Des Ormes notre « Cycling Retreat » !

Sunday 11 August 2019

Mont Aiguille, le Mont Inaccessible?


La vue sur le Mont Aiguille depuis la route Napoléon entre Gap et Grenoble est vraiment impressionnant. C’est un pic mythique, un pic des légendes desquels je n’en savais pas avant nous l’avons monté. Pendant notre semaine du repos, nous avons fait un petit tour du vélo entre Albertville et Bessans, un aller – retour quand nous avons fait les deux côtes du Cormet du Roseland et le Col d’Iseran. Pendant le voyage à Albertville, Kate m’a demandé quel est le pic grandiose ! J’ai viens de lire un article sur cette montagne, et j’ai déjà décidé que nous devons le monter donc j’ai répondu avec un sourire « Ca, c’est notre défi du vendredi !! ». Après un moment d’hésitation, Kate se convainquait qu’ elle voudrait y aller.


Par chance, pendant cette semaine-là, nous avons diné chez nos amis, Nicolas et Annabelle. Nicolas nous a dit que c’était son aïeul qui a fait la première ascension du Mont Aiguille. Mais il ne savait pas bien l’histoire.

Le Jeudi soir nous avons dormi dans le parking au-dessous la pic dans le but d’éviter toute le monde, parce que c’est un pic populaire pour les gens de Grenoble. Nous nous sommes levés au point du jour. C’était autour une heure et demi au bas de la grande falaise, c’était une belle promenade dans la forêt, mais avec des belles vue sur les autres montagnes du Vercors.



Le Mont Aiguille est bien connu parce que on ne peut pas le monter sans escalader. Après quelque moment nous avons trouvé la voie-normale et nous avons préparé la corde pour l’ascension. L’escalade n’était pas trop difficile (PD) et après autour d’une heure nous avons vu deux cordées au bas de la falaise. Nous étions très content que nous avons commencé très tôt, tout était très tranquille sur la face.

Eventuellement nous avons atteint le plateau en haut, c’est incroyable, comme un pelouse en haut. Maintenant je comprends le légende mythique et la raison que les paysans de la région pensait qu’ il y avait des gens qui habitait en haut. Nous avons passé une bonne heure-là, la vue sur le Vercors et Le Dévoluy était magnifique. Puis nous avons trouvé le petit plaque pour Antoine de Ville qui marque la voie de la descente.


Antoine de Ville était le premier homme qui a fait l’ascension de ce pic. À l’époque, on l’appelait le pic, le Mont Inaccessible, et il y avait des légendes au cause du plateau d’herbes en haute . En France un prince du nom de Charles VIII régnait et quand il faisait un pèlerinage il passa près du Mont Aiguille et remarqua sa forme et prit connaissance des légendes qui circulaient à son propos. Antoine de Ville n’était pas un alpiniste mais un capitaine de Montelimar et commandait une troupe de 50 hommes d’arme. Il parle de « subtils engins » qu’il utilisa ainsi que « demi-lieue d’échelles » qu’il fit préparer dans de but ! Peut-être c’était un véritable échafaudage contre la paroi de 250m qu’il en a utilisé ! L’histoire complété est ici.

Sur la descente nous avons rencontré une famille de Grenoble qui passait le nuit en haut. C’est vraiment un belle endroit à dormir au-dessous des étoiles. La descente passait bien avec des petit rappels. Le dernier rappel était vraiment impressionnant, longueur de 45m (heureusement nous avons des cordes de 50m !), mais quand on ne pourrait pas voir la fin de la corde c’était un peu déconcertant, et nous avons lu la description un fois encore ! La fin de la rappel était très aérien et nous apportait dans une grotte.



Au minibus nous avons bu un tas du thé, comme les vrai alpinistes anglais ! Maintenant quand nous prenons la route en Grenoble nous pouvons dit que nous avons monté cette « Mont Inaccessible ».

Thursday 6 June 2019

Saison du trail en haut est parti !!


De temps en temps, j’ai la passion d’aller aux montagnes plus hautes qu’autour chez nous. Il y a deux semaines j’ai essayé y’ aller , mais à cause des nuages noirs autour Gap, je suis allé à Orpierre. C’est la fin de Mai et la fonte de neige a bien commencé, donc c’est la première fois cette année que je peux aller faire du trail en haut.


J’ai vu sur le web (magnifique pour la motivation !) un chemin aérien qui part de la station de Laye et tisse les falaises pour atteindre le sommet de l’Aigle (ou l’autre nom Girolet, 2078m). Avec le mistral qui souffle fort ce printemps, j’ai décidé de faire une boucle dans le sens anti-horaire, avec le vent de dos sur les crêtes.. alors, c’était mon plan!

J’ai garé au Station de Laye, une ville fantôme après la saison du ski et j’ai pris le très beau chemin à l’abri des mélèzes qui traverse la montagne jusqu’au Notre-Dame de Bois Vert, près de La Fare-en-Champsaur. Là, le chemin monte très raid, mais la vue sur la Champsaur est magnifique, et j’ai passé le temps de faire des photos.

Après quelques minutes (ou peut-être une heure !) j’ai atteint la crête et une vue formidable. Les Ecrins étaient couverts par une couche des nuages,  Col du Noyer 500m dessous mes pieds et le Pic du Bure, impressionnant comme toujours.

La traverse des crêtes était superbe, j’ai passé par Coste Folle et Belle et puis Pic de l’Aiguille, ou j’ai dû enfiler les falaises pour atteindre le Pic (2141m). Finalement le Pic de Gleize (2161m), un Pic populaire avec des gens de Gap à cause de la proximité avec la ville et le Col de Gleize où on peut se garer. Mais, je n’ai vu personne jusqu’à j’ai commencé la descente.
La descente au Station de Laye passe bien et les chemins étaient encore superbes dans le forêt entre les pistes du ski qui faisaient une cicatrice sur la montagne, mais pas comme les plus grandes stations du ski.

À la voiture j’ai mangé mon sandwich bien mérité et j’ai réfléchi sur un trail très agréable.

On peut regarder mon trace sur Strava et le petit video Relive.

Monday 20 May 2019

A Busman's Holiday - Tour du Vercors en Vélo

J’ai passé les derniers semaines en cherchant un tour du VTT entre Die et Veynes, mais apparemment il n’y a pas des restaurants ou table d’hôte ouverte dans le Diois le Mardi soir ! Bien sûr nous avons besoin de manger pendant un tour du VTT donc au dernier moment le mode de transport a changé et nous avons fait un tour de Vercors en vélo mais sur les routes!


Il y a une chambre d’hôte dans le Vercors pour les cyclistes comme le notre,qui s’appelle VeloVercors et c’était un bonne raison d’y visiter – en Anglais c’est comme une « Busman’s Holiday ! ». J’ai passé le lundi avec des cartes et Strava et faisait un plan pour le tour. À bonne heure le Mardi matin nous avons conduit à Die où notre tour commence. C’était la première fois nous étions à Die et c’est une belle ville avec les maisons vieux et avec une bonne ambiance et tout le monde en vélo !! Mais nous avons eu jusque le temps pour un petit café et puis « c’est parti » – comme on dit en France ! 

Nous sommes montées le Col de Roussett, un de deux routes qui permette d’accès au Vercors depuis le Sud. C’était longue, mais pas très raid et beaucoup des beaux virages qui nous a porté entre les arbres en bas at les falaises en haut. 

Finalement nous avons atteint le tunnel qui passe dans la falaise et vers le Vercors ! À l’entrée du tunnel, nous avons rencontré un group des cyclo touristes,  une des femmes nous a dit que « ce n’est pas longue, mais c’est très dangereux parce que c’est noir et on ne peut pas rien voir! » J’ai expliqué que peut-être elle doit enlever son lunettes la prochaine fois 😊 Elle a réalisé son erreur et nous avons rigolé ! Après le tunnel nous avons atteint le Vercors plateau et le Mistral ! Le vent fort et le vent froid, nous avons regretté notre décision délaisser nos gants d’hiver dans la voiture 800m en dessous. Mais quand on est froid on cherche le chocolat chaud et nous l’avons trouvé dans le petit village de Vassieux-en-Vercors.

Le Vercors est bien connu pour l’histoire de le Resistance, et c’était ici que la Resistance a fait une important siège pendant la guerre. À Vassieux, site d’une grande bataille en 1944, il y a une cimetière et un mémorial pour la Résistance et nous avons passé un moment de réflexion avant de continuer. 



Nous avons fait une petite boucle du plateau de Vercors et après nous sommes descendu par les tunnels longues des Grand Goulets et impressionnantes des petits goulets. Après «a sugar hit » d’ une glace et un coca, nous sommes remontés au plateau par le Col de La Machine. C’était une montée magnifique. Normalement les panneaux aide mais pas ici, nous avons passé un panneau qui nous montrer que nous étions plus haut que le sommet ! 



Finalement nous avons atteint le col et la descente par la magnifique combe laval. La route est vraiment impressionnant, est pas pour les vertiges ! Ici c’est normale que les cyclistes embrassent le gauche du route pour éviter la vue de la vallée 800m en dessous 😊



Après la descente nous avons trouvé VeloVercors notre chambre d’hôte pour la nuit. Teresa, la propriétaire est très sympa et elle nous a préparé un très bon repas du soir avec des truites BIO de la ferme à côte. Le prochaine jour, après le petit déjeuner nous sommes parti. Nous avons discuté l’itinéraire avec Tony et Teresa et nous avons choisi d’aller au Nord du VeloVercors voir les Gorges de Naan, Ecouges et d’abord La Bourne.



Apparemment Le Vercors est comme autour de chez nous, il y n’a pas beaucoup des cafés pour dejeuner, donc nous avons acheté des sandwiches dans le beau village de Pont-en-Royans et nous avons commencé la montée des Gorges de la Bourne avec des Sandwiches sanglé aux nos vélos !
La montée des Gorges était magnifique, le paysage est très vibrant et les falaises très impressionnante. Sur la petite route qui nous porte jusqu’au Presel, il y a une seule voiture… « The Posty ». Dans le petit village nous avons rencontré le jovial facteur encore. Il nous a donné les bons directions et nous a dit qu’il était un coureur et qu’il va monter l’alpe d’huez dans les prochaines jours !

La descente des Gorges de Naan était raide et encore une petite route qui passe entre les falaises et encore pas pour les vertiges. Après le refouillement avec café (et Kit-Kat pour Kate) nous avons remontée jusqu’au plateau par les Gorges de Ecouges et le tunnel « noir ».  C’était un client chez VeloVercors qui a parlé de ce tunnel, il a eu besoin de suivre le fil qui est là pour aider la navigation. Heureusement j’ai eu le petit éclairage sur mon vélo et Kate a utilisé son portable. Mais, bien sûr sans l’éclairage on peut rien voir!


Après le tunnel nous avons atteint les gorges et le plateau encore, avec le vent de dos nous avons traversé la vallée avec plaisir et maintenant nous avons joui la vue. Finalement nous avons remontée jusqu’au Col de Rousset et une dernière descente à Die et des fougasses bien mérité!

Notre tour sur Strava: