Thursday 26 March 2020

Une grande boucle en Vélo avant "Covid-Lockdown."


À cause du virus “Covid-19 », c’est la fin prémature de la saison d’hiver aux montagnes. Mais je dois continuer pratiquer ma langue Français et avec plus de temps peut-être je peux en profiter ! Donc dans cette édition de mon blog, je vais raconter une petite aventure, pas aux  montagnes mais en vélo.. notre première « 100 miler » pour l’année. Avant qu’on parle de confinement et #restezchezvous.


C’est toujours Kate qui a plus de motivation de faire un boucle long pendant le printemps mais Kate m’inspire. Donc, on planifie notre parcours ensemble, normalement nous aimons aller à la montagnes mais on cherche un boucle sans trop de dénivelé, pas loin de chez nous, mais pas l’un de nos boucles habituels qu’on fait pendant l’été.



Avec un nouveau parcours bien planifié et enregistré sur nos Garmins on part de Buis-Les-Baronnies a bonne heure sous les premières rayons du jour. On commence de monter le Col d’Ey dessous des grandes falaises, normalement fréquenté par des grimpeurs mais il y a personne là aujourd’hui. C’est le premier fois nous sommes montée le côté-sud et on atteint le col sans trop de difficulté avant de descendre jusqu’à Ste-Jalle, un vieux village dans le cœur du Baronnies-Provençal et bien connu pour le vin « Rieu Frais » que nous buvons avec nos clients chez nous.

Du petit village on roule direction nord-ouest envers un territoire inconnu par nous. Notre premier site-touristique pour de la journée était les Gorges de Trente Pas que j’ai vu sur la carte avant le départ. On atteint les Gorges par une petite route qui monte jusqu’au hameau d’ Eyrol, c’était un paysage très beau et nous avons l’impression d’être loin des tous.


Malheureusement, les Gorges ne sont pas très impressionnante, peut-être nous sommes trop privilégié d’habiter près des Gorges de La Méouge !  Après le Col de Sausse est le paysage est encore sauvage, personne là sauf les habitants des petits hameaux qu’on passe…c’était tranquille. Bonne pour un moment de réflexion qu’on cherche de temps en temps (mais peut-être pas à cause de le confinement !)



Finalement on atteint le Col de Vesc, pas remarquable, mais c’est le dernier grand ascension du parcours et de là, nous tournons vers le sud. C’est toujours un bon moment sur un grand boucle quand on atteint le point le plus loin du départ et on a la bonne sensation qu’on est en retour ! Mais, aujourd’hui le change de nos direction est bien marquée par un vent dans le dos et une route plate et droite, nos moyen vitesse saute avec nos esprits.



On travers les petits vieux villages de Taulignan, Grignan et Grillon, et des nombreux bâtiments historiques et toujours sans touristes dans l’air frais du Mars. C’est une région aussi bien connu pour le vin, peut-être nous ne sommes pas des connaisseurs du pinot noir ou gris mais on connait bien les petits routes entre les beaux villages ! Pas des temps pour gouter le sang de la région on continue jusqu’au Vaison de La Romaine. Un village encore historique et beaucoup visitées par les touristes. C’était aussi le site d’une tragique inondation en 1992 faisant 37 morts et 4 disparus on peut voir les conséquences traumatises dans cette vidéo.



On a  parlé de cette histoire recémente et depuis lors j’ai toujours voulu y aller. Aujourd’hui on profite du beau soleil et savoure un Coca sur la place. Après cette petite pause on trouve la motivation de monter les petites rues raides qui nous amène au village historique. Pourquoi, sont les plus beaux villages sont toujours en haut ? Dans un pays renommé pour le cyclisme ce n’est pas facile à visiter les plus beaux sites en 2 roues !

Mais, l’effort à la fin de la journée longue est bien récompensée et on explore les historique bâtiments et petits boutiques (d’accord, pas moi !) sur les rues pavés  qui les entoure.
De Vaison, c’est seulement 20km à Buis… on veut atteint 100 miles, mais les kilomètres passe plus vite que les miles! Mais il y a une piqûre dans la queue (On dit en Anglais « Sting in the Tail » ), j’ai vu sur le carte une petite route qui passe de Faucon, par Propiac vers Buis. Heureusement,  le paysage bien mérité l’effort de monter l’ascension supplémentaire et on découvre une route oubliée.
On finit notre tour avec une descente jusqu’à Buis, et l’effort de la jour est presque oublié quand on atteint le ville. C’est une boucle magnifique, sans montagnes mais une abondance des points culminant.

Vous pouvez trouvez notre itinéraire ici sur Strava.


Thursday 12 March 2020

Pierre, Pierre, Qu’est-ce-que on fait !!


Après presque un mois du soleil et certainement pas de neige, j’ai déjà préparé un Plan B (sans la neige !)  pour mes amis, Gavin and Alan, qui ont organisé un week-end du ski de rando dans Le Dévoluy avec nous. Mais avec leur bagage ils portent la météo « Anglaise» et la pluie ! Heureusement, je connais bien Le Dévoluy après quelques sorties là et on a activé le plan C… et D !

Donc, Samedi matin on charge la voiture et part Serre Des Ormes dans la pluie. Col de Festre est notre premier choix pour un petit tour d’initiation. Au Col, on sort de la voiture et on test les conditions, après quelques seconds nous sommes dans la voiture encore.. le vent froid n’était pas motivant ! Plan B.. on continue jusqu’au téléphérique de Bure plus protégé que le col… avec la motivation « Anglaise».. on laisse la voiture et on se prépare rapidement avant la motivation disparaisse plus vite que la neige fonde.


On monte dans la forêt et atteint le « Chalet du Vallon d’Âne », pas un Chalet mais une Cabane rustique où on prend un thé anglais, comme les vrais alpinistes que nous ne sommes pas ! Avec le chaleur du thé dans nos veines, on ose le froid encore. On redescend avec difficulté à la cause de la neige lourde. On remonte encore le vallon froid, normalement on descend ce vallon mais aujourd’hui c’est plus sûr que nous faisons un aller / retour. La visibilité apparaît et disparaît mais on continue guidée par les grandes falaises qui entournent ce vallon impressionnante. Finalement on atteint la crête entre les deux vallons et on redescend le vallon content que on a bien profité des mauvaise conditions.


Nous étions trempée quand on est arrivé à La Tourtette, notre Chambre d’hôte pour le weeke-end, on dit en anglais comme un rat noyé ! Philippe, le propriétaire, avait un regard étonné, c’est seulement les anglais qui sort dans ces conditions-là !

La soirée était très jovial, Maryanna et Philippe et leur famille étaient très accueillant. Après quelques gouttes du vin, Alan a raconté a blague célèbre.. Pierre, Pierre.. puis, plus amusent, il l’a raconté en Français pour les jeunes, c’était impressionnante et trop drôle !


Le lendemain, il faisait plus beaun et on a hâte de profiter des beaux conditions.. On retourne à Col de Festre, où on fait une belle boucle. D’abord on traverse sous une grande cascade avant de monter au Vallon des aiguilles. La chaleur était incroyable et avec un bera (risque d’avalanche) plus levée on reste sur les pentes moins rade et reste moins exposée. Le Vallon est un peu plat mais toujours tranquille et il y avait personne dans cette petit coin féérique. Au col je dois casser la petite corniche mais sans trop de difficulté et atteint le col et la vue sur la vallée de Jarjatte.
On a profité des sandwiches délicieux que Maryanna a préparé avant qu’on a descendu. C’était super, pas trop raide mais avec un manteaux de neige fraîche. Kate et Alan bien apprécient les conditions moins exigeant.


Malheureusement, c’était ici où Gavin a commencé de souffre de la grippe, pas le Coronavirus mais il perd son habituel enthousiasme. On a monté encore jusqu’au collet sous le Tète de Merlant avant de retourner à la voiture et un bière bien mérité.

Le lundi, la pluie retourne et on a mangé le petit déjeuner sans trop de motivation mais quand Philippe a appelé Maryanna et dit que il neige a Joue de la Loup, Kate, moi et Alan ont un petit lueur de la motivation de faire quelque chose. Gavin, il a envie d’aller au spa. Avec une risque d’avalanche très élevé on a décidé de faire l’itinéraire d’initiation de ski de rando à Joue de Loup.

Always Skin Up!

On commence de la station de ski, mais le sentier monte dans l’abri de la forêt loin de la frénésies des téléphériques et des téléskis. C’était parfait pour les conditions… mais en haut on atteint un plateau, plus ouvert et sans abri du vent froid. C’est plus comme en Ecosse que le Alpes du Sud mais de temps en temps c’est bon de vivre les mauvaise conditions. Heureusement, ce n’était pas loin des pistes et une petite pause avant de redescendre à la station ou nous avons bien mangé !



C’est un super trois jours de ski de rando avec mes amis, pas les meilleur conditions, mais on peut toujours rire avec Pierre, Pierre, le blague très marrante d’Alan !


Wednesday 26 February 2020

Séjour de printemps ou l'hiver à Embrun?


Quelle chance… nos voisins qui habitent à Salérans mais travaillent au lycée à Embrun, nous ont offert leur appartement pour les vacances scolaires! Embrun est une petite ville dans les montagnes à peu près de deux heures de chez nous, un peu loin pour un excursion d’un jour mais trop proche pour un séjour plus long! Donc on a décidé d’en profiter et rester là pour deux nuits.
Moi, je suis toujours enthousiaste de faire quelque chose à la montagne, Kate a plus de motivation pour faire du vélo! Donc le mardi Kate a profité du soleil et fait un tour du Lac de Serre-Ponçon alors que je faisais de ski de rando.

Il est deux ans depuis que nous étions a Crevoux quand nous avons fait un petit boucle en ski. Comme toujours j’ai vu une vallée et sommet très attrayant.. Le Petit Parpaillion (2881m) et voilà, c’était mon occasion d’y aller. C’est un itinéraire long et j’ai toujours hâte de commencer un jour dans le montagne donc j’ai parti tôt et j’étais à La Chalp, un petit hameau qui est bien connu pendant l’hiver pour le ski de fond, à 0730.


De là, je monte la vallée sur les pistes de ski de fond. J’adore l’aube dans les montagnes, c’est toujours tranquille et les premiers rayons du soleil éclairant les sommets comme un lit de feu. Après au peu près d’un demi-heure je vois un truc curieux… un module lunaire ! C’est pas toujours on vois les débris spatiaux quand on fait de ski de rando ! Mais en fait c’est un rappel poignant de l’effet du homme sur l’univers. Apparemment pendant le premier alunissage ils ont laissé un sac de poubelle sur la lune, pendant la célébration, ils l’ont oublié ! La petite statue me fait réfléchir de fou de monde.




Après une mémoire de la honte des hommes, je vois le féerique de la nature et je passe la cascade de Razis, couvert de glace et populaire avec les glaciéristes. De là, le chemin mont plus raid dans la forêt avant d’atteint le Vallon des Eyguettes. C’est incroyable, un grand vallon sous un petit manteau de neige fraiche et personne là, sauf moi. Le vallon est long mais pas raid donc je suis content de continuer jusqu’au sommet de Petit Parpaillon. Depuis le sommet on peut voir dans l’Ubaye, l’endroit de nos derniers aventures en ski de rando. Saviez-vous qu’il y a un petit route entre Crevoux et l’Ubaye qui passe le Col de Parpaillion par un tunnel ?  Je veux vraiment prendre cette route en VTT pendant l’été…. Une aventure pour un autre jour 😊


Du sommet je descends un peu et j’atteins le Col de Girabeau, mon idée était monter par le crête jusque à l’arête de la Ratelle. Au col, je rencontre deux randonneurs en raquettes et on parle un peu pendant que je mets mes crampons, ils me demandent si c’est obligatoire porter les crampons, je leurs explique que je ne sais pas si c’est obligatoire mais c’est toujours mieux d’être bien préparer !
La crête était difficile de monter à cause de la neige sans trace et profond mais sans trop de difficulté technique. J’ai la vraie sensation d’alpinisme avec une pente raid sur les deux côtes et une vue magnifique sur le lac de Serre-Ponçon. Finalement j’atteins l’arête et encore deux randonneurs, mais c’est tout.. pas des skieurs, malgré le proximité des pistes et les télésièges de Crevoux. La neige bien soufflé dans le vallon de Pellat était superbe et j’ai décidé je dois monter encore au crête et profiter  du soleil et de la bonne neige.


C’était un jour incroyable, à la voiture je parle avec Kate sur la portable qui est en train de faire un petit repose du vélo. Elle passe aussi un jour mémorable en vélo. Soit deux ski soit deux roues c’est la magie du plein air qui nous donne le plaisir!




Friday 14 February 2020

Ski de rando transfrontalier dans l'Ubaye.

Il y a deux ans qu’on a passé par le Col de Larche en vélo, depuis lors j’ai toujours voulu y aller pour faire de ski de rando. Le paysage est impressionnant mais les vallées ne sont pas trop raides et j’ai eu l’impression qu’ils sont accessible pour le ski de rando.

Un tour « Transfrontalier » est toujours plus intéressant et j’ai entendu de la vallée « Val Mairia » en Italie, bien connu pour le ski de rando. En voiture c’est plusieurs heures et on doit passer par Cuneo mais à vol d’oiseau (ou ski de rando !) ce n’est pas loin.

Un ski tour transfrontalier.

À cause d’une semaine des vents forts, on a attendu une météo plus favorable avant d’y aller. On est parti de chez nous tôt et on est arrive au petit village de Larche avant 9h. Nous avons voulu faire un petit tour de reconnaissance dans le vallée avant de partir en Italie. J’ai eu l’idée de faire le Tour de Meyna, un classique, mais malheureusement il y n’avait pas assez de la neige et donc on a rapidement fait un « Plan B ».  En lieu on a fait un tour en bas de la vallée par le pistes de ski de fond et on a découvert une très belle vallée s’appelle Le Val Fouranne où on a profité des beaux temps et on a pris un repos et petit pique-nique.

On a profité des pistes de ski de fond dans la vallée.

Le soir nous avons dormi au refuge Larche, convient pour le ski de rando parce que c’est prés de la route mais avec une ambiance de la montagne. Là, nous avons rencontré une groupe qui restent pour la semaine et ont fait plusieurs tours avec un guide.

Le lendemain, on a conduit jusque au Col de Larche, quelques kilomètres du refuge. De là on a monté par une vallée ouverte et pas trop raide dans un magnifique paysage. On a atteint le Col de Ruberent, la frontière Italienne, lorsque on a pris un petit repos quand on a vu un loup ! C’était incroyable…  il était 200m de nous sur un face raid mais il le mont avec aise. Voir un loup dans la montagne et dans son environnement est surement spéciale.

Toujours magnifique.

Après notre rencontre inoubliable, on a continué jusque à Colle de la Scalleta. De là c’était une décente jusque au refuge. Mais le jour était jeun (on peut dire ça en Française ?!!), et j’ai envie de monter le pic Monte Scalleta (2840m). Le vent au col était fort donc il y  n’avait pas le temps pour un discours, pique-nique ou l’hésitation, nous serions y allés ! On enlève les skis, met en place les crampons et avec les piolets on a commencé la montée. Le chemin était bien tracée, la bonne chance parce que je n’ai pas lu le guide sur ce chemin ! Et quelle surprise, après quelque moments on a trouvé un petit trou pour un tunnel dans la falaise. Woooohhhh Incroyable…apparemment c’est une ancienne galerie militaire de la guerre..  on travers le tunnel et sort de l’autre côté!


Ancienne tunnel militaire.
De là on doit monter par un couloir raid, Kate a hésité et j’ai essayé de lui donner le bon encouragement.. doucement on a atteint le sommet. Pour moi, c’était un moment tranquille et spéciale, le vent qui nous avait eu ébouriffé en bas a arrêté, le ciel était hivernal mais une vue claire sur un paysage sauvage.

Monte Scalletta.

Après nous sommes retourné au col, la descente jusqu’au refuge n’était pas facile à cause de la neige dure, mais le terrain n’était pas difficile donc on a trouvé le refuge sans incident. Le Refuge (Rifiguio Viviere) était incroyable, sans doute le meilleur refuge que nous avons trouvé à la montagne. Un sauna, jacuzzi, une chambre en suite, un repas magnifique et le gardian, Fabrizio, très accueillant.


La vallée du Enchiausa... vraiment grandiose.

Le lendemain, on est parti du refuge avec hésitation et on a commencé le retour en France! D’abord on doit passer par le Col d’Enchiausa dessous de Auto Vallanso. C’était encore un magnifique paysage, sauvage et il n’y avait personne là. Après le col on a descendu un peu et on a atteint un joli Bivouac ( Bonelli) près des lacs gelés et on a dégusté notre casse-croûte avant de monter doucement le Col des Monges et la frontière. De là on a atteint le Vallon d’Orrenaye encore et quelle surprise, finalement la neige n’étais pas comme beton ! C’était transformé dans le chaleur du soleil donc on a atteint le voiture sans difficulté.

C’était vraiment un mémorable travers dans les montagnes Franco-Italien. Cette nuit là, nous avons resté encore au refuge de Larche et le lendemain on a fait un petit aller-retour du Col encore mais l’autre côté de la vallée jusque à L’Enclause (2712m). 

L'Enclause (2712m)
Encore du sommet il y avait une vue magnifique et beaucoup des sommets pour un autre jour. Nous serons de retour 😊

La Coupa (2628m) - Peut-être le plaisir, type 2????

C’était notre premier nouveau sommet ensemble cette année. En fait La Coupa (2628m) n’est pas vraiment un sommet mais le fin de la Crête de la Malamorte. Du nord, La coupa est bien caché derrière L’Aiguille d’Orcieres (un sommet pour un autre jour), mais j’ai toujours voulu y’aller. C’est bien connu et très populaire donc on a profité d’une semaine sans travaille et on est parti tôt pour L’Archinard, un petit hameaux en face de la grande station de ski de Orcieres.

Dans le forêt en bas.

Du parking on doit d’abord traversée le petit hameaux, ce n’était pas facile, la passage pavé bien gelé ! On a bavardé avec la femme qui habite dans la ferme, quelle vie, sans soleil pour les mois d’hiver et seulement les randonneurs qui passe.

Le chemin monte doucement dans la vallée et se tisse entre le torrent et le fôret, il y avait beaucoup des traces dans la neige, mais personne était là, sauf nous. Après quelque temps la vallée deviens plus ouverte et on peut voir notre objectif, c’est magnifique.

En haut les pentes sont plus raides et on a besoin de faire attention, spécialement quand on faisait le « kick-turn », c’est le nom quand on fait tourner sur le ski sur une pente raide et on doit donner un bon coup de pied !

Kate atteint le sommet!

Kate a commencé réfléchir à la descente, et elle était un peu nerveux. Mais j’ai toujours pensé qu’elle est une meilleure skieur qu’elle croie et avec des mots motivants on a continué. On a atteint le sommet, et la vue sur la vallée en bas était incroyable. J’adore les sommets dans le Champsaur, au sud on peut toujours voir notre région où nous habitons et au nord les plus grands sommets des Ecrins comme le Sirac et le Meije.

Le mer des nuages dessous.

Au sud, il y avait des nuages qui viennent de cacher le sommet donc,  on a hâté de descendre.  J’ai descendu avec Kate et bien sûr elle va bien. Dans la vallée nous avons apprécié les petits sandwichs que nous avons mangé avant de descendre dans le forêt. C’était super et finalement Kate avait une grande sourire encore! C’était comme une piste de luge avec les vieux traces qui tisse entre les arbres et on pensait que nous étions dans un film de James Bond.

Le ski... Le plaisir - type 1!

Encore un nouveau pic pas loin de chez nous, encore un nouveau petit coin de notre région que nous avons découvert, encore plein des possibilités d’y aller encore… J’adore la région où nous habitons 😊